Dimanche
mardi 8 mai 2012, 11:02 Vétérinaire au quotidien Lien permanent
Aujourd'hui, c'est dimanche. Je suis d'astreinte : de garde, avec mon téléphone portable même aux toilettes, mais chez moi. Je suis d'astreinte en continu depuis deux jours, mon après-midi de repos précédente, c'était jeudi. La prochaine, mardi. Les journées ont été chargées. Les nuits, moins.
Il est 7h30, je suis dans mon lit, et mon téléphone sonne. Volume à fond, branle-bas de combat. Une voix de femme. Jeune.
- Service de garde.. bonjour ?
- Docteur c'est affreux mon cochon d'Inde a une tique, j'ai peur !
- Zgrmfl mais c'est pas grave, il suffit de l'enlever...
- Mais comment ??? Et puis, il y a les enfants !
- Pfff attendez je vais prendre votre téléphone, je vous rappellerai quand je serai à la clinique...
Suit une séance titubante pour trouver un stylo et un papier, noter le numéro.
- Merci docteur !
7h30. Là, c'est sûr, je suis réveillé maintenant. J'aurais pu l'envoyer chier. Même pas le réflexe. On ne me réveille jamais en semaine pour des conneries pareilles. C'est uniquement les dimanches et jours fériés.
Et moi j'envoie pas chier. Et tout à l'heure, quand je serai à la clinique pour gérer mes hospitalisés, je vais l'appeler pour enlever la tique de son cobaye. Lui montrer comment on fait, lui vendre un crochet à tiques, et même pas lui faire payer le tarif de garde. Mais quel con.
Foutre les chiens dehors, petit dej', twitter, café. Je vais partir assez tôt à la clinique, j'ai des trucs très lourds dans mon chenil, pas que ce soit urgent mais là, tout seul chez moi, je stresse et tourne en rond. Je bouquine un chapitre de mon Ettinger, n'en retiens rien, prends mes clefs et ferme la porte. Je vais aller voter en vitesse, pas sûr que j'aurais le temps plus tard. Au bureau de vote, il y a quelques vieux du village et une assiette de crêpes. Je serre quelques mains en vitesse, engloutis une crêpe tendue par madame le maire, et file en montrant mon téléphone comme une excuse.
"Les urgences, tout ça."
Il est 9h lorsque j'ouvre la porte de la clinique. Le chien qui devrait être mort depuis trois jours va bien. Très bien. Le téléphone sonne, un chien qui refuse de manger, pas joyeux, pas en forme. Alerte piro. Ce n'est peut-être pas ça, mais on ne va pas prendre de risques. En attendant qu'il arrive, j'appelle la propriétaire du cobaye, et administre ses traitement à mon hospitalisé lourd. Le chat opéré hier soir va très bien, pas d'inquiétude, il ronronne peinard dans sa cage avec ses morphiniques, sa litière, sa gamelle et son coussin. N'a pas touché à sa perf', comme souvent les chats. Je lui fous la paix. Il est apaisant.
Le propriétaire du jeune chien pas en forme arrive vite, pas le temps de promener le chien hospitalisé. On verra après. Un jeune lab', qui remue à peine la queue alors que d'habitude, rien ne le démonte. Son maître a eu raison de me l'amener. Il n'a pas de fièvre, l'examen clinique est normal, le frottis piro négatif, il n'est même pas franchement malade, mais il y a un truc.
Il a mal, forcément. Le ventre est souple mais il me regarde d'un air accusateur lorsque je le palpe.
"Il a tendance à manger des conneries, ce loulou ?
- Heu, non, ça lui a passé depuis quelques mois déjà."
J'enfile un gant, que je fais claquer comme dans les séries. Un doigt dans le rectum, des fragments durs, des gouttes de sang. Qu'est-ce qu'il a mangé ce con de chien ?
Des morceaux de bois.
Antalgiques, antibiotiques en couverture, paraffine, on revoit demain si ça ne va pas mieux : m'étonnerait qu'il faille lui ouvrir le ventre, à celui-là.
Pendant la consultation, la dame au cobaye est arrivé. J'ai enlevé la tique avec le petit crochet qui va bien, je lui ai montré comment faire. Quatre euros cinquante, le prix du réveil le dimanche, le prix pour être rassurée même si ce n'était rien du tout. Je trouve ça très con, et je ne vois pas comment faire autrement, là. Je renvoie la dame chez elle avec son cochon d'Inde. Il n'y a pas à dire, je sauve des vies. Je me dis que je comprends les généralistes qui n'assurent plus leurs gardes, vu que de toute façon les vraies urgences filent aux urgences, et qu'il ne reste que ce genre de conneries.
Il est 11h00, et le voisin arrive avec son chien. C'était prévu depuis hier. Ce papy setter s'est descendu une bassine de gras l'avant-veille, et ça a du mal à passer. Je préfère jeter un œil, même si les choses semblaient se dérouler normalement, hier. Il nous a déjà fait une hépatite, une pancréatite, une prostatite, une uvéite, manquerait plus qu'il nous refasse un joyeux mélange de tout ça sur son indigestion carabinée. Pas de selles depuis la veille, mais plus de vomissements non plus. Je fais une radio, histoire de vérifier l'absence d'image d’iléus. RAS en dehors de son arthrose et des plombs qu'il a pris il y a des années. Je remets des antalgiques, on verra demain.
Je promène le chien hospitalisé, renseigne un quidam qui a trouvé un chien, pucé heureusement, renvoyé dans ses pénates immédiatement. Ça aussi c'est du service public : je ne facture jamais rien pour ce genre de trucs, sauf si je garde le chien le temps que le maître puisse le récupérer...
Enfin, il est midi et j'ai fini mes urgences. Je vérifie mes perf', fais le tour de la clinique, ferme la porte.
Devant la mairie, les gens sont attroupés au soleil. Il y a la queue entre la boulangerie, le tabac et la mairie. Mais ici, ils n'ont pas de crêpes.
Deux heures moins dix, j'ai eu le temps de manger, cette fois. Le téléphone sonne à nouveau.
Un vêlage. A l'autre bout de la clientèle. Je choppe une chupa au passage, en guise de dessert. Pastèque, ma préférée.
Vingt minutes de route, je fais un détour par la clinique pour attraper l'embryotome, au cas où.
Le téléphone sonne, sur la route. Un chien qui s'est arraché une griffe. Il a mal, forcément, mais ce n'est pas grave. Je donne quelques conseils à la dame, qui voudrait quand même me le montrer. Je lui explique que je pars sur une grosse urgence, que j'en ai peut-être pour une heure ou deux. Je la rappellerai.
La petite étable est ouverte aux quatre vents. Il fait un froid glacial malgré le soleil, mais ma chasuble de vêlage coupe bien le vent. Le gars n'est pas trop habitué à me voir dans ce rôle. Avec ses 15 salers, on ne fait jamais d'obstétrique chez lui. Il a eu un bon réflexe : repérer la bête "malade", la remonter à "l'étable", repousser le veau déjà à moitié engagé. J'enfile mes gants, plonge mes bras dans la chaleur de la matrice. La jeune vache n'apprécie pas, mais ne dit rien. Le veau est là, présentation antérieur. D'après l'éleveur, il avait une patte pliée. Une bricole, mais bon, quand on n'a pas l'habitude... Le souci, c'est cette sensation de vide, d'air dans l'utérus. Normalement, l'utérus, même atone à cause de l'épuisement, ça colle fort au veau, il n'y a pas des masses de place. Là, j'ai l'impression de balader mes mains dans une cathédrale de muqueuses. Et de sentir trop bien le rein gauche, la panse, là en bas. Percée. J'enlève mes gants pour en voir le cœur net, sentir les détails : une vraie catastrophe. Elle est déchirée, depuis le vagin jusqu'à, sans doute, la moitié de l'utérus, avec, évidemment, le col en vrac au milieu. Coup de bol, les artères n'ont pas pris, et le veau est encore en vie. Je glisse mes doigts sur les limites de la déchirure, sens passer un ovaire.
Et après tout, pourquoi pas ?
Je fais une tronche d'enterrement, l'éleveur et sa femme ont changé de visage en voyant le mien.
"Bon, votre veau a tenté de sortir par césarienne, mais tout seul. Il a bien réussi l'ouverture de matrice, même si ça fait plutôt incision de débutant, mais pour le péritoine, les muscles et le cuir, il a merdé. Je vais finir le travail : ouvrir là (je monter le flanc), on sort le veau par le trou qu'il a fait, et je referme tout le bordel. C'est un foutu chantier, il y en a pour deux heures sinon plus, ça peut rater, elle peut mourir de choc (elle fait déjà bien la gueule), ou faire une péritonite dans les jours qui suivent. Le veau, ça devrait aller. Il me faudrait deux seaux d'eau, froide ça ira."
Ils hésitent. A la fois choqués - ils n'ont jamais vu un truc comme ça - et rassurés par mes tentatives humoristiques. Je sais ce que j'ai à faire, je suis sûr de moi, et ils le sentent. Ils me font confiance. Il y a une sensation de puissance étrange dans ces instants. Ce genre de chirurgie, tous les vétos ruraux s'y sont essayés. Avec, je suppose, des succès variés. Ça ne s'apprend pas à l'école, ça ne s'apprend pas tout court. C'est le bordel, on ne sait pas ce que l'on va trouver en ouvrant, on a notre petite boîte de chir' et nos mains, on est tout seul. C'est exaltant. Surtout quand on l'a déjà fait et que l'on sait que ça peut marcher. La première fois que cela m'est arrivé, j'ai du "inventer" cette chirurgie. Depuis, j'ai un peu peaufiné. Ce matin, j'ai enlevé une tique du cou d'un cobaye. Là, la vie d'un veau et d'une vache dépendent de ce que je vais faire. Non que seule ma compétence compte : même en travaillant bien, elle peut y rester. Mais si je ne fais rien, elle mourra.
Le temps que je savonne la bestiole, anesthésie le flanc, ligote les postérieurs et pose une mouchette (dans le désordre), madame est revenue avec des seaux. Je dispose ma boîte de chir', sors mes fils, ma lame. Je me désinfecte les mains, les bras. Explique au monsieur comment tirer le veau, quand je le lui présenterai. Il est nerveux, se roule une cigarette, qu'il rallumera 100 fois pendant la chirurgie, vu le vent.
J'incise, esquive un coup de pied pas trop vaillant et de toute façon bridé par mon huit aux jarrets. Ça a le cuir épais, une salers. je crois que c'est la première fois que j'en ouvre une. Dessous, deux fines couches musculaires, puis la cavité péritonéale. Je repousse la panse vers l'avant, glisse mes bras derrière. L'ouverture est là. Depuis le milieu de la corne gauche jusqu'au vagin. Plutôt rectiligne. Le veau n'est pas trop mal placé pour une extraction. Je sors ses pieds, les tends à l'éleveur, qui place les lacs et, avec mon aide, extrait facilement le bestiau. Le veau est secoué, a du mal à respirer. Un coup d'analeptiques, et ça repart. Je le surveille trois minutes avant de retourner me laver puis désinfecter les mains. C'est maintenant que les choses sérieuses commencent.
Nous sommes sur une petite route de campagne, et l'étable est ouverte du côté de la route. Il y a un passage monstre, avec les élections. Les gens s'arrêtent comme ils s'arrêtaient à la sortie de la mairie, discutent. Il y a des voisins, des vieux, des jeunes, une petite fille de six ans qui voudrait savoir si ça fait mal, et pourquoi le veau tremble comme ça. Elle aussi, elle a froid. Une dame sort une couverture du coffre de sa voiture pour abriter le veau, et enfile son blouson à la petite.
Je suis dans ma chasuble vert poubelle, les bras jusqu’aux coudes dans l'abdomen de la vache. Suture intégralement à l'aveugle, pas moyen d'extraire la matrice, même partiellement. J'appelle ça la suture au doigt : je me pique régulièrement pour bloquer la pointe de l'aiguille. Je serre mon surjet sur mes phalanges, me scie les articulations. Alors que j'écris ce billet, je compte douze coupures et piqures sur mes doigts. Les seules douloureuses sont celles de la deux-trois phalangienne de chaque index. Là où le fil passe quand je serre. Le premier surjet est le plus hasardeux. Le ligament large et les débris de placenta me gênent. La coupure est mal foutue. Con de veau. Il me faut pas loin de trois quart d'heure pour finir ce premier surjet. Pas parfaitement étanche, mais pas loin. Le second, enfouissant, me prendra une petite demi-heure. Du plaisir de faire un surjet en ne prenant que la séreuse et la musculeuse, sans traverser la muqueuse, lorsqu'on ne voit rien et qu'on a les deux bras dans la vache...
Une vieille dame me regarde travailler, souriante. Elle avait des vaches, avant, je ne les ai jamais connues. Ils ne parlent pas politique, aucun. Ils discutent, de la petite du voisin, des brebis, de la pluie, du beau temps, d'un baptême, de l'herbe qui pousse et du veau qui est gros, mais pas tant que ça. Ils parlent de tout, ils parlent de leur essentiel. Ils évoquent le véto qui était là avant moi, et qui est mort. Les Pyrénées sont splendides sous le soleil.
Je me sens utile, même si, finalement, ils ne s'intéressent pas tant que ça à moi.
J'ai fini mes surjets. Un monsieur, le père de l'éleveur, je crois, veut savoir quelle longueur de fil a été nécessaire : 2m50. Il n'en revient pas. Quelqu'un que je n'ai vu ni arriver, ni partir, vient de revenir avec une bouteille de colostrum empruntée au voisin laitier. Sortie du congel' et réchauffée au bain-marie.
Je fais vider un flacon de pénicilline dans l'abdomen de la vache. Plus par habitude que par réel souci d'efficacité, mais ça "parle". Ça aurait aussi bien marché en intra-musculaire. Premier surjet musculaire, second surjet musculaire. Cette fois, ça va très vite. Je suture le cuir, un joli montage à points passés. en esquivant les savates - la peau est toujours mal anesthésiée en fin de chirurgie...
J'ai terminé.
Reste à faire le ménage, m'enlever le sang de tout partout. L'eau des seaux n'est pas froide, elle est chaude. J'en pleurerais de plaisir, moi qui ne suis pourtant pas frileux.
Dans ma voiture, le téléphone chante les messages sur le répondeur.
Les gens sont partis. Mais le veau a toujours sa couverture.
J'explique un peu le post-op' à l'éleveur et à son épouse. Rien de bien compliqué. Ils sont dramatiquement confiants.
C'est une belle journée, même en plein vent.
Sur mon répondeur, un message, un chat blessé. Je pense à la dame avec son chien a la griffe arrachée, quand un chasseur m'appelle : il vient de faire ouvrir un chien au parc... Je donne rendez-vous aux deux en même temps. Le premier arrivé passera le premier sur la table de chir', le second sera hospitalisé. Je rappelle pour le chien avec sa griffe, m'excuse et explique à sa propriétaire que j'ai d'autres animaux à prendre en charge en priorité. Elle l'admet très bien, me demande quelques conseils. Elle ira le lendemain chez son vétérinaire habituel (qui ne fait pas ses gardes...).
A la clinique, je patiente un peu, range quelques papiers, regarde de loin ma 2035. Je me connecte sur Twitter. #radiolondres, et le gazouillis habituel. C'est le printemps.
Le chasseur arrive le premier. Un bon gros chien de chasse qui en a vu d'autres, une belle ouverture à la cuisse. Un petit trou sur l'abdomen. Largement de quoi justifier une anesthésie générale. J'ai le temps de poser mon cathéter et brancher ma perf' quand le chat arrive. Un gros matou manifestement plus qu'à moitié sauvage, avec une vilaine blessure au cou, probablement un vieil abcès percé. Bien dégueulasse. Je discute trois minutes, propose de le castrer en profitant de l'anesthésie. La dame est d'accord - ça lui apprendra à se battre, comme elle dit - j'hospitalise, elle le reprendra le lendemain.
Il est 17h passées et j'ai deux chirurgies qui m'attendent.
J'endors rapidement le gros chien. La plaie à la cuisse ne nécessite presque pas de suture musculaire, mais un drain ne fera pas de mal. Le trou abdo, finalement, ce n'est rien. Une demi-heure de boulot, et je laisse le chien se réveiller en expliquant les traitements et consignes pour la suite.
Il est 18h lorsque je tente d'endormir le chat. Je réussis mon injection, mais en bon gros matou costaud et à moitié sauvage, il essaye de me bouffer, m'échappe et ravage ma salle de préparation, avant de se réfugier sous une armoire. Nous avons laissé exprès l'espace nécessaire à un chat pour se planquer là, pour ce genre de cas. Je tue le temps de l'induction en faisant les soins à mon gros chien hospitalisé, qui continue de défier les pronostics, et en babillant sur twitter.
Pose de cat', perf. Le téléphone sonne à nouveau. Un veau, très mal. J'indique à l'éleveur que je passerai après avoir fini ma chirurgie. Le parage de l'abcès me prends une grosse vingtaine de minutes, la castration cinq de plus. Je remets le chat en cage, vérifie que tout va bien, et je repars.
Le veau est à dix minutes de route de là. Il est 19h20 lorsque je l'examine. Douleur majeure, à en claquer. Une vilaine diarrhée hémorragique, une bonne fièvre. Coli, salmo ou coccidies ? Je pense pour les dernières, mais les fragments de fibrine et de nécrose dans la diarrhée me font douter. Le veau est mal, en tout cas. Dans le doute, je traite pour les bactéries comme pour les protozoaires, prends un échantillon, et surtout, je soulage la douleur. A 19h45, je suis de retour à la clinique, je mets la diarrhée à décanter pour une coproscopie. J'ai le résultat à 20h00. Normal. Coccidiose massive. Jamais vu autant de ces saloperies par champ (zone éclaircie, là, pas moyen de prendre la photo avant d'avoir dilué, ça ne rendait pas, mais l'idée était un peu la même que pour ces coccidies de lapin).
Je ne rappelle pas l'éleveur, de toute façon il viendra demain pour la suite du traitement, si le veau a survécu, ce qui est loin d'être gagné.
Moi, je promène le chien hospitalisé. Un gros cœur de malamut. Nous avons un nouveau président de la république, twitter gazouille tant que je n'arrive plus à suivre, et mon chat opéré de la veille est toujours là, et pète le feu. Celui à qui je viens de parer l'abcès et couper les roubignolles se réveille gentiment.
Je laisse un message aux propriétaires du malamut, et la salle de préparation à la femme de ménage. Dans un état lamentable, j'en suis désolé pour elle, mais je n'en peux plus.
Je referme la porte. Klaxons de joie dans le lointain.
Il est 20h40 quand j'arrive chez moi. Je vais me coucher tôt. Une grosse journée m'attend demain.
Commentaires
Salut !
je lis de plus en plus attentivement ton blog, j'adore ton style direct et clair :)
continue de nous partager tes moments de vie :)
ciao !
Waou! Quelle journée de folie! Et sinon, deux vétos de garde, ça ne serait peut-être pas de trop?...
Fourrure :
Ah ben non, on serait deux fois plus souvent de garde.
Très bien. Comme toujours. Merci encore ; pour tout.
Et bah moi quand je lis ça après une journée où on m'a déglingué en m'assurant que ne pas connaître précisément le protocole de vaccination des poulets contre la maladie de Newcastle, allait faire de moi un véto de bas étage, ça me remonte le moral ! Un peu maso peut-être mais c'est CA que je veux faire ! Merci Dr Fourrure !
Fourrure :
Un truc qui est bien avec les médicaments, c'est que soit on s'en sert tout le temps et on les connaît très bien, soit on ne s'en sert presque jamais et on consulte la notice.
Coucou
Quelle journée ! Continue c'est agréable de te lire, j'aime bien ton humour. J'aimerais bien que mes 2 poilus (matous) connaissent un véto comme toi...
Et je compatis pour tes gardes de folies, j'ai les mêmes dans un bloc op mais avec des humains parfois plus mordants que des chiens ^^
A bientôt :)
Bonsoir, je découvre ce blog pour la première fois, par ebuzzing. Je suis restée scotchée dans ma lecture dès les premières lignes, j'adore ! Bravo pour le style, la simplcité, l'humour, tout ! Tout est bon :) Merci du partage, et courage !
Tu m'impressionnes toujours autant, voire plus. Bon courage
Superbe, comme d'habitude. Mais franchement, le coup de fil de 7h30... j'aurais bien eu une idée de l'endroit où elle pouvait se la mettre, sa tique!!!
j'ai bien aimé la "cathédrale de muqueuses"
Pour la 2035, tu es affreusement à la bourre, tu vas ramasser 10% si tu continues comme ça. J'ai passé ma compta sous GnuCash (Ubuntu-Linux), avec les comptes qui vont bien, du coup, il ne me faut plus que quelques minutes pour remplir cette bouse.
Sinon, hier, elles étaient belles les Pyrénées, même sous la flotte intermittente, avec ses gros nuages sombres et menaçant. On s'est pris la flotte à Suber Pène, on a tenté notre chance à Sarrancolin pour se reprendre une seconde saucée et finalement, on s'est retrouvés à Lortet, avec son beau rocher qui sèche vite en après-midi, et on a crâmé, collés à la paroi, matant en haut des voies le fond de la vallée d'Aure.
Peut-être un jour où tu ne seras pas d'astreinte! ;-)
Toujours un plaisir de vous lire, merci pour le partage de cette journée bien remplie!
J'adore votre blog. Vous nous tenez en haleine du début à la fin de vos billets et tout est clair et limpide, on s'y croirait, on le vit. J'adore. Continuez et merci pour le partage.
Quel rythme! Gérer les priorités ça doit être bien difficile parfois. 7h30 - 20h40, ouach...Merci comme toujours pour votre engagement, votre humanité et votre humour, ça fait toujours un bien fou..
bonsoir, c'est toujours un réel plaisir de vous lire. Merci encore. Continuez, ne changez rien. Des fois, je pleure en vous lisant car il y des histoires dures, d'autres je souris en me disant quelle vie bien remplie !
Plus ça va, plus je trouve le ton de vos articles émouvant.
A chaque nouvelle lecture c'est toujours le même sentiment de vivre le moment comme vous le racontez, c'est étrange et difficile à expliquer, mais merci pour cela.
comme toujours, splendidement raconté. Merci !
... En lisant, j'ai vraiment eu peur que cette épuisante journée se termine mal.
même s'il n'est pas exclu manifestement que l'un ou l'autre de vos patients du jour ne survive pas (sauf peut-être le cochon d'Inde, qui paraît hors de tout danger !), je suis contente que la journée ne se soit pas conclue par un échec avéré. :)
ça fait de belles journées bien remplies tout ça ! Merci pour tes beaux témoignages ^^
Et comment va le veau à la vilaine diarrhée?
... et la vache alors? happy end ou pas...?
Sinon super article comme d'habitude, on s'y croirait :-)
Chapeau bas !! superbe splendide toussa toussa ! ;)
Sinon un ch'tite coquillette en début de texte cher Docteur !
"Je vais finir le travail : ouvrir là (je monter le flanc)"
il faudrait inverser le e et le r dans "je monter le flanc"
voilà
bonjour!
Encore un super article! Voilà des années que je suis votre blog et je ne rate jamais une publication !
J'aime la clarté avec laquelle vous expliquez les choses, sans fioritures, en toute simplicité!
J'aurais aimé savoir si vous consacreriez un billet à l'alimentation (cru comme le barf, croquettes), donner votre avis sur le sujet, vos réticences et vos conseils.
Souvent quand il s'agit de comportement, je cite Dehasse, lorsqu'il s'agit de cas de personnes qui soignent avec des huiles essentielles leurs chats, ou qui disent ne pas vouloir castrer pour ne pas blesser la virilité de leur compagnon je vous cite vous. Mais concernant les alimentations comme le cru, il y a plein d atricles qui disent que c'est génial et sans danger ou au contraire que le mieux ce sont les croquettes mais les articles proviennent ou bien d'auteurs de livres de recettes maison, ou bien des fabricants de croquettes, et aucun de vétos français qui donnent leur point de vue objectif sur la question.
Pensez vous pouvoir écrire un petit billet sur le sujet?
Fourrure :
C'est un sujet pointu, blablater des généralités c'est facile mais tout argumenter... plus dur. Je vous conseille de lire cet article d'un blog que je suis assidument (en anglais par contre...).
Un dimanche de garde somme toute normal non ? ;)
Une journée impressionnante, de belles interventions.
Il n'y a que Madame Cochon d'Inde à qui je trouve que vous auriez pu sortir le Talc ...
Vous avez là une très belle passion ! Je n'ose imaginer le nombre d'heures que vous travaillez par semaine !
Encore bravo !
@Mline
Ouiiii ! Le talc ! Le talc !
Ca faisait longtemps qu'on n'en avait pas parlé et je la trouve justifiée. Mais avec le Fourrure qui ne fait même pas payer le tarif de garde, on n'est pas rendu.
Bonjour,
Excusez-moi de vous importuner par ce mail, mais j'ai une chatte de deux ans et demi qui est décédée récemment : vomissements, déshydratation, hypothermie , OAP et fin...Aucune autopsie n'a été faite. Le vétérinaire m'en a dissuadé me disant qu'on obtenait le plus souvent aucune réponse.
J'ai pu récupérer son dossier (ma chatte avait été hospitalisée deux jours dans cette clinique) mais sans aucune explication. Le vétérinaire m'a simplement dit qu'elle avait dû être intoxiquée, une intoxication certainement d'origine alimentaire.
Deux radios numériques lui ont été faites ; Sur l'une d'elles, celle de face, on voit, au niveau des intestins, deux petites zones noires. Est ce normal ? j'aimerais comprendre, ne serait ce pas le signe d'une occlusionintestinale ??? Accepteriez vous que je vous adresse cette radio par mail. J'ai essayé de recontacter le vétérinaire qui s'est occupé de ma chatte, mais n'ai malheureusement eu aucune réponse de sa part.
Dans l'attente de votre réponse, avec tous mes remerciements
Annie Montigny
Fourrure :
Bonjour : non, je ne vous donnerai pas d'avis "spécifique"par mail, ou ailleurs. Les zones noires peuvent être normales sur une radio, il s'agit généralement d'un peu de gaz, tout à fait normal dans les intestins.
Salut Fourrure et merci. Des fois (comme aujourd'hui) où, sur les genoux, je me demande pourquoi je fais tout ça. Et puis ton billet me rappelle que oui, le week-end de garde parce que je travaille seule, c'est dur, mais que cette semaine, il y aura aussi probablement ce moment super où on a l'impression de faire ce pour quoi on est fait, pour un propriétaire sympa, et qu'en plus, ce qu'on va essayer, va peut-être réussir !!
Arghh, ça sonne !
A bientôt
J'imagine que vous ne comptez pas vos heures sinon vous vous feriez peur ? ;-) Merci pour ce superbe témoignage dominical !
C'est toujours un plaisir de vous lire, votre prose incroyable nous donne une autre facette du monde véto, un visage sacrément touchant et humain.
et au fait comment va la vache?
Fourrure :
Très bien !
Bonsoir !
Je viens d"atterrir" sur votre blog. Je le trouve passionnant ! J’espère depuis toute petite devenir vétérinaire, donc ça m'intéresse doublement... Merci de nous faire partager vos expériences !
Tranche de vie d'un véto web 2.0 ^^
Viens de tomber sur votre site, vos articles, très intéressants, bcp d'humour, de passion.
Bonne continuation.
Je vais vous suivre sur Twitter.
Dc Fourrure? On aura pas la suite dans le générique? Du genre Hollywood: Mme Vache et Ti-veau ont finalement survécus et sont maintenant les "kings" du troupeau, et Dame Vache a ouvert son centre de femme vivant avec de grandes cicatrices et des troubles d'abdos (même si vous devez avoir fait de votre mieux, il reste des séquelles de ce genre de coupures)! Mme Vache aime tjrs Ti-Veau malgré sa sortie impulsive!
Le chien Rongeur a finalement sortit un panier d'osier grâce au laxatif mais vous avez dû l'ouvrir pour récupérer l'anse. Le panier est au Musée des Copro-trésors du Tennessee. Ensuite, le vieux chien malamut a fini par enterré son jeune mâitre de 15 ans, accidentée mais vous l'avez adopté, par cause de trop de peine pour la famille du maître de le garder, rappellant le décès du jeune! Et le proprio du chien qui a manger du gras a fini par tellement péter que le proprio est mort de combustion spontanée en s'allumant un cigare....soupir!
Mais vous savez, je suis bien contente de mes vétos à moi. Oh, je vous trouve équivalents à eux, oui, mais loin d'un océan...
De plus, je reconnais en vous le fameux doute des humains...
Laissez-moi le dire(je suis également professionnelle et instruite): Ce doute est là pour une seule raison. Lorsqu'au départ, nous avions la jeunesse fiere et orgueilleuse...mais que l'expérience finissant par entrer nous a remis à notre place, ce doute arrive quand nous ne voulons pas laisser tomber l'orgueil-fierté-jeunesse!
L'expérience tue les illusions, et celui qui a fait tuer ses illusions mais qui n'a pas voulu se débarrasser de son orgueil, va irrémédiablement douter...Ainsi, vous vous coupez d'un cran de plus, un cran de sagesse...L'expérience+orgueil=doute...mais expérience-orgueil=sagesse!
Ainsi, vous ne craindrez plus la perte de collègues, et vous acquerrez le respect du client...Car malgré toutes vos énormes qualités, il manque dans ce bel emballage un petit respect glorieux, du client.
On le voit lorsque vous en parlez franchement, sur votre histoire de collègue et client. Mais malheureusement, on le voit aussi dans le courriel de la dame qui vous a écrit plus haut...Celle qui fait de la culpabilisation sur son chat mort.
Elle demande des réponses et vous auriez pu, vous auriez eu assez d'expérience et d'intelligence pour lui répondre ce dont elle a besoin (pas lui donner ce qu'elle veut mais...), non avoir encore peur de vous faire remarquer par des collègues qui protègent une chasse-gardé...Je vous comprends d'avoir peur, mais je ne peux pas le cautionner.
Vous devez travailler pour l'animal, ensuite pour le client, ensuite pour vos collègues...Pas autrement. (Vous intervertissez les places clients et collègues dans vos valeurs)
Votre renommée est maintenant faites, donc, vous pouvez maintenant faire votre travail avec un cran de difficulté de plus et prendre une ligne d'un cran plus difficile moralement, non vous assoir sur votre expérience et choisir les acquis qui vous permettrons de mieux jouir de celle-ci...Me suivez-vous? (car tout ce que je vous dis est liés)
Vous êtes bon, mais vous devez faire fructifiez ce talent pas mal plus que ce que j'y constate.
Partout où vous rayonnez, vous devez vous forcez, vous appliquez...et si certains points sont devenus moins difficiles, il vous faut remonter la barre...Et je pressens que votre barre à vous devrait être augmentée du côté du respect du client, de la simple morale-médecine...J'espère que votre intelligence vous fera comprendre, donc admettre ce sur quoi j'informe ici.
Dans tout ce que vous faites, appliquez-vous...du point de vue de votre médecine, en regard de vos clients...ou de futur clients. Quand on écrit sur internet pour le plaisir, on trouve les mots(psychologie) pour répondre correctement à ceux qui voudraient nous amener là où on ne veut pas aller...
C'est votre droit de choisir vos fonctions, mais votre pseudo-prétexte sur l'éthique-collègue n'existe que pour vous sortir d'une situation paresseusement...Entre vous et vous, vous saurez vous le dire.
Dame Annie avait besoin d'être rassurer qu'elle avait été dans une bonne direction...vous pouviez, tout en respectant la collègue qu'elle a eu, la rassurer, sans offrir de consultation par internet....Bref, vous avez été plutôt anti-hippocrate, dans ce coup-là!(Peur déontologique?)
Alors continuez ce que vous faites de très bien, mais améliorez-vous encore....Débarrassez-vous de votre orgueil, pour accueillir les qualités nécessaires à une personne exceptionnelle...pas seulement très bien!
Vous avez humour, expertise et expérience...De plus, vous possédez d'autre cordes à votre arc comme, par exemple, bien écrire...
Mais pour celui qui a permis l'étalement de votre, de vos performances en médecine, que faites-vous?
Rien...vous vous en foutez même! C'est pourtant le client qui permet votre gloire!
Au fait, quand vous aurez développé ça, il vous en restera encore à faire...au cas où vous aimeriez vous assoir de nouveau.
Ça prend un minimum de sagesse pour prendre ce que je vous écris sans frustrations. L'avez-vous?
Il me fallait vous le dire, puisque vous aussi, vous êtes bien franc avec nous. Qualité honorable d'ailleurs.
Et bravo pour tout le reste sur lequel, je n'ai absolument rien à redire! Car vous faites du bien aux animaux...et c'est noble...et c'est encore plus difficile qu'être généraliste pour humain.
Un bravo est quand même mieux que deux tu l'auras...Sauf que j'espère tout de même que votre grandeur s'étalera aux maître.
Mais que je comprends donc votre écoeurement face aux imbéciles majoritairement sur cette terre.
Et facile d'aimer les collègues qui aiment comme nous, ces animaux, qui sont bien moins cons que les humains.
Mais pour les quelques humains ayant votre coeur pour les animaux, mais pas les études, NI les REPONSES qui vont avec....svp...!
Merci!
Je viens de voir que la vache va bien! lol...Bien contente!
Les animaux sont si angéliques. Plus que nous!
Nous, nous sommes en fait, une race également. Des primates que l'on nommes évolués...des humains...Une race bien à nous seul!
Pourtant, peu connaissent la réelle différence entre nous et les animaux. Ce n'est ni le pouce, ni nos facultés cognitives (pour ce qui est vraiment utilisées, pfff), ni notre anticipation supérieure, etc...
Nous sommes appelés à être différents des animaux, en fait. Nous avons des capacités de se distinguer d'eux, mais ne le faisons généralement pas!
J'entends les plus "animals" d'entre nous protester...lol...
sans même percevoir que leur argument prouve mes dires!
On voit déjà le potentiel supérieur (mais largement négligé) dans les tribus paléolithiques.
Nous nous croyons mieux qu'il y a seulement 2000 ans. Et pourtant! Nous nous croyons mieux qu'il y a 5000 ans (là ça commence à grincer) Et pourtant! Nous nous croyons mieux qu'il y a 15000 ans...(Oh, là, les plus ouverts vont me dire: Ben oui, on est certainement mieux que l'homme de cro-magnon?...)...non...
Techniquement, on l'est pas (je parle de technique physio-biologique)! Spirituellement ou psychologiquement? La plupart sont encore pour la loi du Talion...oui, la plupart! (tendre la joue est tellement peu viril, tellement naïf, tellement peu...combatif?, agressif?,...animal???)
Oh, pour les autres, on comprend bien de tendre la joue mais pas pour nous, pour les autres... Quand il nous arrive qqchose? Le talion et que ça presse et 10 fois plutôt qu'une d'ailleurs!!!
Qui voudrait Barrabas aujourd'hui? Ne vous trompez pas...
Qui se laverait les mains? Ne vous trompez pas...On est pas mieux qu'il y a 2000 ans...encore que des hommes en devenir...
Chacun prêche pour son clocher, sa poche, personne ne veut bien agir s'il risque de perdre sa licence, ses droits de société, etc...
Qu'est la vie d'un mendiant qui fait du grabuge, qui fait la morale, en plus...si on perd son statut social pour le sauver?
Pourquoi j'écris ici? De un, parce que dès que je vois un exemple de ce principe, j'en parle...Et Dc Fourrure en a donné un très bon.
(Il laisse Dame Annie en détresse pour sauver sa licence de véto-il préfère donner un bon rendement social envers ses collègues, qu'un bon rendement social envers un client...c'est pourtant le client qui a besoin de lui?...Lui doit donner le meilleur, et ne pas s'occuper du jugement de sa collègue...et plutôt se préoccuper du jugement des clients, de ceux qui attendent de lui le meilleur...si une cliente veut changer par plus de confiance, il ne doit pas s'en foutre, il doit prôner la confiance)
Aussi, plusieurs propriétaire se prétendent sauveur des animaux sans bien les traiter, ou aussi, sans respecter l'humain...qui est aussi l'animal par excellence...en devenir d'homme!...ils vont nourrir un chat mais pas un indigeant!
Et...si l'humain est encore un beau gros animal, je suis à ma place, pour écrire cela, non?
J'aime le discour du Dc Fourrure lorsqu'il parle de l'euthanasie. Il a une bonne parole, un enthousiasme réaliste et un grand respect de la vie! Il l'a et cela fait de lui un grand homme.
Mais y'a plus grand encore....C'est à dire, lui, quand il aura accepté les responsabilités supplémentaires que son intelligence lui apporte. Lui, quand il cessera de prioriser son statue social au opportunité de faire du bien en faisant profiter les autres de son statut social, justement.
Il est important son statue social uniquement s'il en fait du bien avec. Par exemple, profiter de son statut de médecin pour rassurer Dame Annie en lui disant qu'elle a bien fait, que même lorsqu'un véto se trompe, il ne peut pas se tromper pour l'empoisonnement, que selon les dires qu'il a, il croit vraiment que sa collègue à bien fait, etc...et qu'il raconte avec sa belle prose une anecdote pour la rassurer...etc...!
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Pas être froid par peur de se voir faire une faute déontologique, froid par colère après une femme de mettre ses chers collègues, si cher à son coeur à lui, en doute!!
Non, là son expertise si bonne n'a servit qu'à faire une grande peine à la femme et au mieux, une grande méfiance des vétos, par tous ceux qui lisent son blog!
Il a fait ce qu'il craignait....parce qu'il n'a pas fait de son mieux. Et tous le louange, sans remarquer la bêtise.
J'écris pour compenser l'image fausse renvoyée...Pas fausse par mensonge des commentaires, mais fausse par omission des bévues du grand homme.
Si tous qui lisez avec frustration ce billet allez plutôt délaisser l'orgueil (donc à terme, laisser la honte et culpabilité...si, si...)et remplacez cela par les efforts pour bien agir (je dis efforts mais si vous saviez combien il est plus dur de ne pas agir correctement....que de le faire correctement).
Félicitation pour vos soins aux animaux, tous...Mais ça manque de cohérence tout cela!
On est des animaux et nous deviendront des hommes le jour où utiliserez vos forces pour l'autre animal devant vous, humain ou chat ou chien ou autre...
Qu'il est difficile pour un riche de délaisser son statue social pour entrer là où nos voulons tous allés....retrouver nos cher animaux euthanasiés...
Car oui, ils sont angéliques nos animaux. Et ils sont là où vous pourrez les retrouver si vous faites les efforts d'être angélique!
L'animal témoignera du mal qu'on lui a fait et de celui qui l'a fait, sans distinction de statue social...ni autre distinction matériel.
Ce sont peut-être les animaux qui vous donneront le statue d'humain ou non, plus tard?
Bye!