Environ une dizaine de minutes après sa sortie du ventre de sa mère (par des voies non conventionnelles), réanimé, frictionné, réchauffé, et en attente des tétines maternelles...
Quant à moi, j'ai enfin accès à internet chez moi, je vais donc pouvoir paisiblement reprendre l'écriture de ce blog !
Commentaires
Content de voir que tu es de retour sur ton blog !
Adorable boule de poils au passage
Contente de vous retrouver! trop mignon, il a une tête cartoonesque de Tigrou ce tout petit bonhomme! Bon week end
Adorable ... espérons qu'il a devant lui une belle vie de chat pleine de coussins, de souris et de longues siestes !
En ce jour de la Saint-Amour, espérons que sa maman lui donnera toute l'affection dont il a besoin, ce tendre bébé, et que la maîtresse (ou le maître) saura attendre le sevrage total avant de le donner, si le don est en vue. Car il n'y a rien de plus triste que les chatons donnés avant... je ne vais pas t'expliquer pourquoi, hein, tu le sais toi !
Une petite histoire d'un de mes chats
Je regarde mon Socrate, avachi sur la table, consciencieusement occupé à lécher le bout de sa patte rose tout en se demandant s’il doit continuer sa toilette ou bien s’interrompre pour bouffer la mouche qui vole au dessus de ma tête. Je vois bien à son regard jaune qu’il s’interroge. C’est important, la propreté. Mais une mouche, c’est drôlement bon une mouche bien grasse – et moi, ça me fait plaisir de le voir comme ça. Plaisir de le voir en possession de tous ses moyens, entier, parce que, très franchement, il y a eu un putain de jour où il m’a collé la frousse.
Ça ne serait jamais arrivé à Pluton, mon autre chat qui est la prudence incarnée. Non, c’est tombé sur Socrate parce que Socrate est un peur de rien, et ça lui est arrivé parce que ce soir-là il est tombé sur un salopard que qu’il ne me déplairait pas de foutre en pièces, même trois ans après. Mais je ne sais toujours pas qui c’est, c’est là que ça coince.
A l’époque, j’habitais un quartier tranquille de Nantes, Zola pour ceux qui connaissent. Des petites maisons - la mienne constituée d’un simple rez-de-chaussée - des impasses, des petits murs. Et j’avais un bout de jardin. Mais le fin du fin, c’était la chatière. Ce truc qui permet aux bestioles d’aller et venir à leur guise. En été, par exemple, je ne voyais pratiquement jamais les chats dans la baraque. Ils rentraient juste bouffer la nuit, clac-clac. Même pas bonsoir, clac-clac, et ils étaient déjà repartis jouer aux mammouths sur le toit.
Mais là, c’était novembre. Je me revois : 20 heures, il fait nuit, je viens de fermer la librairie. Je rentre à la maison avec Fauvette, une demi-heure de marche à pied, le véto m’a dit que c’est bon pour son rythme cardiaque.
La première chose que je vois à l’intérieur, ce sont des traces de sang sur le carrelage. Du sang frais qui forme une traînée. La traînée, elle commence où ? Elle vient d’où ? Elle commence juste devant la chatière. Mince, ça veut dire qu’il est arrivé quelque chose à un des chats. Mais il est où ? Et lequel ? C’est Socrate, je le trouve planqué en bas d’un placard, l’ait complètement abattu. Sa patte avant gauche saigne au coude. Pas abondamment mais régulièrement quand même, et ce qui me fait frémir c’est que Fauvette et moi on a failli aller manger à l’Entrecôte avant de rentrer. On a bien fait de pas y aller.
J’appelle le véto, le cabinet est à cinq minutes à pied. Par chance il est peut-être encore là. Bon dieu pourvu qu’il décroche. Il était sur le point de fermer et me dit de rappliquer. J’attrape le petit comme je peux, il se débat, ça pisse le sang de plus belle quand je le fourre dans la cage. Ouf, dans la boîte – et ça m’a tellement foutu les nerfs à vif que ça me donne envie de boire une gorgée !
Tout de suite, je suis rassuré par le véto. Non, il n’a pas perdu trop de sang. Il va s’en tirer. Piqûre d’antibiotique. Puis tranquillisant pour pouvoir recoudre. Il va me le garder la nuit, en observation. Tout ce qu’il peut affirmer, c’est que ce n’est pas une morsure de chien. L’entaille est beaucoup trop nette. En recousant à la loupe, il pense qu’il pourra se faire une idée précise de l’origine de la blessure. Il me suggère de rentrer tranquillement, il me passera un coup de fil demain. Je regarde mon chouchou s’endormir et j’y vais.
Le lendemain, je retrouve mon zouave avec une grande cornette de bonne sœur et la jambe pansée. Il n’a pas l’air plus impressionné que ça. Petit miaulement un peu plaintif, ça doit quand même faire beaucoup pour lui. Des séquelles ? Oui, il y en aura peut-être. Difficile de dire s’il remarchera normalement. La blessure ? Et bien, vue de près, à la loupe, elle semble ne pouvoir avoir été faite que par une lame. Et vu la forme de l’entaille, il a fallu que quelqu’un maintienne la patte immobile pour que la lame tranche et fasse presque le tour de l’articulation.
J’ai eu une petite idée de qui pouvait être assez malade pour avoir ça à l’époque, mais je n’ai jamais eu la certitude. Mon chouchou en tout cas n’a gardé aucune trace. J’ai un peu espéré qu’il devienne plus méfiant, mais en vain. Il garde aujourd’hui la même spontanéité, la même totale absence de trouille des gens, et je l’observe, vautré, incapable de comprendre qu’on s’en soit pris à lui ce soir-là d’une manière aussi dégueulasse.
Ah oui, si vous voulez savoir : finalement, il a bouffé la mouche et puis après il a continué sa toilette. Là, il dort juste à côté du clavier, la tête posé sur le bloc de papier.
PS je remercie Bénédicte d'avoir mis le lien jusque ici
Kranzler, c'était LE lien à suivre !
,,_^o_o^_,,
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Fourrure, ce chaton a une bouille de lion repu.
Tu sais quoi ? Rémi a une moustache blanche, ça m'a mis un coup de vieux :o/
Fourrure : et il aura bientôt de l'arthrose...
O_o
Ah bah c'est très délicat de votre part ça, tiens !
Je suis un gros chiot d'à peine huit ans moi, monsieur !
Arthrose... arthrose... pfff.
Fourrure : Il faudra un jour que je fasse un billet sur ces chiots qui ont de l'arthrose...
Mais après tout, huit ans, pour un berger allemand, ça représente déjà une jolie soixantaine d'années pour un humain.
Etonnant, non ?
UNe autre histoire de chat ?
Celle de Kantzler m'incite à vous raconter ce qui est arrivé à mon chat il y a bientôt un an. C'était fin août.
Théo est rentré ce soir d'août en miaulant bizarrement. Je suis allée voir et je découvre des gouttes de sang sur le parquet. Le choc. Je l'immobilise et tente de trouver d'où vient sa blessure que je ne tarde pas à localiser. Un petit trou sur le côté gauche. Je trouve qu'il saignait beaucoup pour une petite blessure. Mon premier réflexe a été d'appeler son véto. J'ai laissé sonner une dizaine de fois. En vain. Comme c'est une clinique, j'ai pensé qu'il habitait ailleurs. Et que je n'avais aucune chance de pouvoir le contacter. C'était un vendredi soir. Le week-end. Mon deuxième réflexe a été d'appeler les pompiers pour leur demander s'ils pouvaient me renseigner sur d'éventuelles permanences de vétérinaires dans ma ville et donc qu'ils me communiquent un numéro de téléphone. Le standardiste insiste pour savoir ce qu'a mon chat. Je lui résume la situation et lui redemande un numéro de téléphone. Puis je m'entends dire qu'il va m'envoyer les pompiers. Ce que je refuse. Je ne souhaite pas faire déplacer les pompiers pour un chat blessé. Le standardiste insiste et m'envoie deux pompiers.
A leur arrivée, l'un deux me dit "on vient pour une capture d'animal" genre on nous a signalé un animal dangereux. Interloquée, je refais l'historique de la situation depuis le début. Les pompiers se regardent hébétés. Puis un peu furax. Et commencent à maudire le standardiste. Il est alors plus de minuit. Plus d'une heure s'est écoulée. Théo s'est planqué dans le coffre de mon clic-clac. Bien qu'endormi, mon chat me paraît prostré. Le pompier inspecte. Puis il décide de rappeler le standardiste avec petit règlement de compte au passage. Bref, les pompiers se montrent très coopératifs et m'obtiennent le numéro de portable d'un vétérinaire qu'ils m'affirment être de permanence. Après leur départ et remerciements d'usage pour leur diligence, j'appelle illico le fameux véto. Et là, pas au bout de mes peines, je me fais engueuler comme une malpropre. Le vétérinaire en question refuse de se déplacer parce que je ne suis pas cliente chez lui, que la blessure de mon chat n'est peut-être rien (je ne sais plus à quoi il l'a assimilée), que je m'inquiète pour rien, que je n'ai qu'à attendre le lendemain et j'en passe. Je lui objecte qu'il a communiqué son numéro aux pompiers et qu'il est donc censé assurer les soins de mon chat. Je lui signifie par ailleurs que j'ai pas réussi à contacter mon propre vétérinaire. Et que c'est d'ailleurs lui que j'ai contacté en premier. Rien à faire. Stressée, je l'engueule à mon tour. Le mec se paie l'audace de me dire qu'il bosse le lendemain. Pas de bol, moi aussi je devais me lever tôt. J'étais énervée, stressée, consternée face à un tel comportement, par un tel manque de professionnalisme. Sans rien lâcher, il me demande le nom de mon vétérinaire, me dit qu'il va l'appeler lui-même et me recontacter. Ce qu'il fait. Ayant réussi à parler à mon véto, il me dit que je n'ai plus qu'à lui téléphoner et de voir avec lui pour la suite. Il est pas loin d'une heure du matin. Quand j'appelle mon véto, je tombe sur son épouse qui commence à faire barrage, à me poser des questions sur l'état de mon chat. Sans oublier de me préciser qu'il est tard et autres fadaises. J'ai coupé court non sans lui rappeler que je n'appelle pas pour tailler une bavette mais bien parce que mon chat est blessé. J'en pouvais plus. Je devais encore batailler pour pouvoir m'adresser à mon véto. Lequel me dit finalement qu'il accepte de me recevoir... à la clinique au-dessus de laquelle il habite. Et c'est là que j'ai compris qu'il avait dû entendre les sonneries de téléphone mais qu'il n'a pas répondu sans doute pour cause de week-end.
A mon arrivée, je ressens comme un malaise. Pendant qu'il examine Théo, je lui fais part du comportement de l'autre vétérinaire. Je remarque que çà le choque, quand même !! Il m'assure qu'il va le joindre et régler çà. Quant à mon chat, il diagnostique une perforation plus ou moins profonde des poumons et envisage qu'il s'est fait mordre par un chien. Ce qui m'étonne vu qu'il n'y a qu'un trou. Il hésite un moment à le garder pour la nuit vu que cela a l'air sérieux, se demande s'il ne doit pas opérer. Je le sens assez dubitatif. Il tranchera en lui injectant une piqûre de je ne sais plus quoi et en apposant qqs aggrafes. Puis il lui fait un bandage. Me prie de le rappeler le lendemain matin pour lui dire comment va Théo. Qui n'aura pas droit de sortir pendant une dizaine de jours.
Finalement, je n'ai pas eu besoin de ramener mon chat le lendemain. Juste dix jours après pour constater que sa convalescence s'est bien passée. Qu'il était guéri.
Fourrure : Déontologie de l'urgence : tout accepter... et trier après, quitte à augmenter la note pour ceux qui nous prennent vraiment pour des cons. Je n'inclue pas là-dedans les fausses urgences "de bonne foi", évidemment.
Rhoooo le p'tit bout !
On dirait un maine coon ;-) (déformation "professionnelle" !!!)
Fourrure : je vais le dire à la propriétaire, elle pourrait en tirer un bon prix pour des chatons de gouttière !
A moins que le snouveaux-nés Maine Coon ne soient comme tous les chatons nouveaux-nés... :)
Au passage si les vétérinaires qui viennent ici veulent des photos "techniques" de mise bas, j'en ai un certain nombre... L'une de mes toutes premières photos avec mon premier réflex numérique (véridic - date de début 2004) fut la première sur cette page : http://www.chatterie-koolkat.com/un...
(un grand moment d'émotion que la coupe du cordon ! C'était une femelle maine coon primipare et qui n'eut qu'un chaton ce jour-là...)
En ce moment nous "baignons" dans les sphynx (10 chatons !!!) mais bon c'est pas le sujet.
Fourrure : Bon courage !
Y'a beaucoup de gens qui nous demandent, très régulièrement, si "leur chat serait pas un maine coon ?"
"Il a la même couleur vous savez !"
"Oui madame, mais euh comment dire... Vous voyez, le gabarit... La longueur de queue... La structure crânienne... Les oreilles, le museau, le menton... Euh non, définitivement, votre chat n'est pas un maine coon : désolé !"
Notez que sur les très jeunes chatons, bien difficile sera le verdict.
(pour les sphynx on n'a pas ce soucis ^_^)
(à ce propos je redoute le moment où, dans quelques semaines, les 10 "rat-taupes" comme les appelle une collègue de bureau, se lâcheront dans notre séjour, rendant notre vie impossible !!! C'est aussi ça le sphynx : un chat exceptionnellement intelligent... pour faire les conneries les plus improbables qui soit !)
Quelle émotion de la vie naissante dans ta photo ! superbe !
Wow !!!!
Ca c'est du sèchage/frottage, et je m'y connais !
Enfin, pour reconnaître quand c'est bien fait, parce que j'ai jamais fait aussi bien...
Sans doute un truc fondamental pour garder la chaleur, donc les reflexes primaires, surtout en cas de césarienne, quand la maman ne peut pas allaiter.
J'ai lu sur divers manuels qu'il est recommandé de prendre la température avant de biberonner, mais comment prendre la température d'un bébé qui vient de naître ?
Fourrure :
Sous la serviette à carreaux, il y a une bouteille d'eau relativement chaude. Laissez tomber la température, biberonnez si nécessaire quand il a envie de têter, sinon, laissez faire la nature... Une maman peut très bien allaiter après une césarienne !
Quand on voit la photo de ce chaton, on se demande ce qui l'attend...
Ma petite Trixie devait ressembler exactement à ça il y a 5 ans, mais je n'étais pas là, je l'ai adoptée plus tard. Et parallèlement, les histoires d'urgences félines en commentaires me ramènent à ma propre expérience, il y a quelques jours à peine, sauf que j'ai préféré appeler directement les urgences vétérinaires qu'appeler le véto "habituel" ; de nuit et de weekend en août, je me suis dit que de toutes façons c'est là que j'atterrirais, autant ne pas perdre de temps. Gloire aux vétérinaires urgentistes à domicile, d'ailleurs, dont jusque là j'ignorais l'existence. L'examen a eu lieu dans des conditions spartiates, mais il a été complet, et des premiers soins ont pu être prodigués. Ça n'a évidemment pas empêché que le lendemain, Trixie soit diagnostiquée d'une leucémie, mais au moins elle a pu manger et dormir un peu en attendant de voir "son" médecin, elle a été un peu soulagée (pansement gastrique et quelques piqûres préventives).
Et là je me demande : comment savoir quand on franchit la ligne entre soins poussés et acharnement thérapeutique ? Le vétérinaire m'a assuré que Trixie ne souffrait pas actuellement (ce n'est pas ce qu'indiquaient ses yeux tous plissés, ce weekend, mais après tout, je ne suis pas véto, moi), mais il lui a aussi pronostiqué 15% de chances de survie. Tout le monde me dit de la faire euthanasier tout de suite, pour m'éviter une procédure longue, douloureuse, inutile, et coûteuse, notamment. Le vétérinaire m'assure qu'on va se battre aux côtés de Trixie, mais avec déjà 250€ de frais vétérinaires, plus des soins qui vont chiffrer autour de 50€ tous les quinze jours (piqûres de cortisone pour booster la production de globule, aujourd'hui en panne), pour un pronostic vital très pessimiste... J'avoue que même si ça me fait horreur, je ne peux pas m'empêcher de prendre le budget en compte. Mais par-dessus tout, je ne veux pas attendre qu'elle soit dans un état lamentable pour la laisser partir, mais je ne veux pas non plus la lâcher juste parce qu'elle va mal. Mon vétérinaire me dit qu'on a su stabiliser mon autre chat depuis le diagnostic de l'an dernier (lui, c'est une hépatite, ça change), et qu'il n'y a pas de raison que ça ne marche pas pour elle. Mais il ne m'avait pas annoncé 15% de chances de survie pour l'autre, et ce n'est pas la même maladie, pas le même animal, pas le même dommage (pancréas HS), etc... Comment, sans aucune compétence médicale, en essayant de trouver le juste milieu entre affection et objectivité, savoir ce qu'il faut faire ?
Depuis qu'elle est sous cortisone, et qu'elle bénéficie de ses pansements gastriques (le vétérinaire me dit qu'elle n'en a plus besoin, mais ça lui a fait visiblement du bien, et apparemment ça ne peut causer aucun dommage, j'ai bien envie de continuer...), Trixie dort beaucoup mais ses yeux sont à nouveau tous ronds, grands ouverts et attentifs quand elle réclame sa nourriture (chose qu'elle n'a jamais fait avec autant de vigueur, d'acharnement et de voix que depuis ces derniers jours, elle est en pleine fringale). Finie l'apathie, finis les vomissements, comme si ça n'avait été l'affaire que d'un weekend.
Et pourtant, non. Mais comment savoir, comment décider ?
Je revois cette photo de chaton roux, et je voudrais revenir à cet instant où Trixie ressemblait à ça, même si je n'y ai jamais assisté.
Fourrure :
La situation semble stabilisée grâce à la cortisone. Pour combien de temps ? Mystère... Pourquoi ne pas continuer ainsi tant que les choses se passent bien ? D'autant que si l'embellie se prolonge, en général, ces injections peuvent être espacées... Bien sûr, une nouvelle crise surviendra, et ces questions reviendront. Et, oui, il faut envisager le budget...
Bon, je vais y aller de mon commentaire un peu (beaucoup) tarte:
comme il est choupinou ce chaton!!! A croquer!!!
J'en veux un de nouveau, j'en veux un de nouveau!!!
Voilà, c'est fait, ça va mieux!
Désolée...
Cette photo et cette histoire me touchent particulièrement... Le week-end dernier, j'ai du moi aussi me battre, mais pour sauver 3 chatons nouveaux nés - et en pleine santé, la maman aussi - que l'on allait tuer à l'éther une fois mon week-end fini et la portière de la voiture claquée. La chatte n'est pas stérilisée, j'ai proposé une sortie de "marché": laisser les chatons vivre, je m'occuperai de les placer (je n'ai pas grand mérite, je fais partie d'une association) et payer la stérilisation de la chatte. La première partie du marché a été acceptée, et les chatons vont bien, mais pas encore de réponse pour la deuxième... A suivre!
adorable ma chatte elle en a fait 4 et elle et en chaleur je veut qu'elle sorte pour qu'elle en refasse mais mes parents veulent pas mais c quand meme une lourde responsabilité alors je les conprent